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Dyspraxie

Il existe plusieurs formes de dyspraxie et les atteintes sont propres à l’enfant dans sa gravité et ses répercussions dans son quotidien.

Le diagnostic doit être effectué par un neurologue à l’aide de bilans pluridisciplinaires (neuropsychologue, psychomotricien, ergothérapeute, orthoptiste, …).

Un enfant dyspraxique a du mal à planifier ses mouvements lorsqu’il veut les faire volontairement. Il ne parvient pas à les refaire de manière automatique, à l’inverse des autres enfants.

Les gestes de l’enfant sont lents, maladroits et réalisés de manières plus ou moins adaptés d’une fois sur l’autre. L’enfant a du mal à gérer le temps et l’espace qui l’entoure. Il est en difficulté pour coordonner ses gestes. Ce sont des enfants dit maladroits.

On retrouve souvent le fait que ces enfants n’aiment pas les puzzles et les jeux de construction. Ils ont du mal à couper leur viande, ils cassent beaucoup, et ont besoin d’aide pour s’habiller. Ces enfants ont aussi souvent des difficultés en dessin ou en en écriture.

 
 
dypraxie

La dysgraphie est un trouble fonctionnel affectant l’acte graphique avec un retentissement sur l’aspect (lisibilité) et/ou sur la vitesse d’exécution. L’écriture s’avère généralement coûteuse. 

Ce trouble ne peut être diagnostiqué qu’à partir de 7 à 8 ans, âge auquel le graphisme est censé s’automatiser (soit après un an d’apprentissage), mais des signes d’alerte peuvent être observés bien avant, et conduire à une consultation en psychomotricité.

Le terme « autisme» possède une histoire complexe et recouvre de nombreuses conditions pathologiques ou psychologiques. L’autisme ou plus généralement les troubles du spectre autistique (TSA) sont des troubles du développement humains caractérisés par une interaction sociale et une communication anormales, avec des comportements restreints et répétitifs, des peurs irraisonnées, un profil sensoriel atypique….

L’autisme affecte la façon dont le cerveau traite les informations en modifiant, l’organisation des réseaux de neurones durant le développement. Les symptômes sont généralement détectés par les parents dès les deux premières années de la vie de l’enfant.

Les causes sont pour la plupart inconnues et semblent multifactorielles (génétiques et environnementales). La part génétique est prépondérante mais reste encore mal comprise.

photo d'un petit garçon isolée, illustration des troubles autistiques que traite la psuchomotricité
Comment diagnostiquer le TDAH?

Le diagnostic de TDA/H s’appuie sur la présence de symptômes de déficit attentionnel, d’hyperactivité et d’impulsivité, apparu avant l’âge de 12 ans, se manifestant depuis au moins 6 mois, dans au moins deux environnements (maison et école), et entraînant une altération du fonctionnement social, scolaire ou familial de l’enfant.

Ses enfants présentent bien souvent, en plus de leur agitation et de leur distractibilité, des troubles de la régulation émotionnelle : ils contrôlent mal leurs affects, expriment des réactions émotionnelles excessives et disproportionnées, supportent mal la frustration, et peuvent facilement être irritables, voire colériques.

Il présente par ailleurs une labilité émotionnelle qui peut les faire passer rapidement d’un état d’euphorie à un état d’abattement.

Un WISK-V réalisé par une psychologue ou neuropsychologue est absolument nécessaire pour poser un diagnostic de Haut-Potentiel.

L’enfant dit « précoce » ou Haut-Potentiel, a tout compris très vite, “laisse un peu les autres répondre”… II a besoin de passer à autre chose, à l’école, il est vite rêveur ou agité, il subit critiques et punitions.

Selon son caractère, il peut se refermer sur lui-même (inhibition, solitude, introversion), se réfugier dans les larmes, ou bien encore devenir agressif, et dans le pire des cas, rejeter toute activité scolaire…

Les troubles de la régulation tonico-émotionnelle

Les enfants présentant un trouble de la régulation émotionnelle sont souvent décrits comme:
-contrôlant mal leurs affects,
-exprimant des réactions émotionnelles excessives et disproportionnées,
-supportant mal la frustration,
-pouvant facilement être irritables, voire colériques.

Mais à l’inverse, il peut aussi s’agir d’enfant décrit comme figé, inhibé ou à tendance anxieuse…

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